Burnout

[Aleck_Ultimate]

Bonjour à tous.

 

Il y a quelques temps j'ais entendu sur Franc-Inter une émission parlant du Burnout, tant professionnel que parentale.

 

De ce que j'en ais retenu de plus important, c'est que le burnout touche en grande partie des personnes avec un profil travailleur et volontaire, avec une envie de bien faire, motivée par la conscience professionnelle ou la pression hiérarchique.

 

C'est ce perfectionnisme et/ou l'implication personnelle dans l'entreprise qui pousse la personne à continuer d'elle-même ou avec la pression hiérarchique jusqu’à atteindre ses limites physiques et mentales.

 

Je dit bien, d'elle même, car c'est en générale par conscience professionnelle, même si ça peut aussi être pour des raisons financières ou de peurs de perdre son emploi, que la personne ignore plus ou moins consciemment ses propres limites jusqu'à les dépasser, et il est alors trop tard.

 

Si je vous parle de ça, c'est parce que j'ais moi-même une conscience professionnel importante pour le travaille que je fournis et que je me sens très impliqué dans le développement de mon entreprise. Etant le seul à pouvoir modifier les plans par AutoCAD, mon travail est important en phase d’exécution, mais crucial pour les réponses d'appel d’offre.

 

On ne me pousse pas à travailler plus que je ne l'accepte, mais c'est moi qui accepte trop de travail. Sentant venir mes limites, j'ais pris la décision de carburer une dernière semaine pour finir l'urgent et d'enfin me donner la permission de repousser ce qui peut l’être pour m'accorder une semaine de vacances.

 

Si je vous dit ça, c'est parce que si je n'avais pas été mis au courant de fonctionnement du burnout je ne l'aurais pas reconnu avant qu'il soit trop tard, et je n'aurais donc pas pus agir en conséquence. Un peut comme pour la moitié des personnes ayant droit au RMI ou aux allocations familiales ne les demandent pas tout simplement parce qu'ils ignorent y avoir droit, le burnout ne peut être reconnu que si on sais à quoi il ressemble, et il me parais important de faire en sorte que ceux qui peuvent en être victimes sachent le reconnaître avant d’être obligés de passer par la médecine du travail, voir la case tentative de suicide.

 

Même si vous vous sentez bien actuellement, prenez deux peutite minutes pour faire le point. Si après réflexion tout vas bien, tant mieux pour vous. Sinon, commencez à chercher une solution adaptée à votre situation.

 

Bien à vous,

Aleck.

[DenisHen]

Ça m'inquiète ton truc.

 

Si je vous parle de ça, c'est parce que j'ais moi-même une conscience professionnel importante pour le travaille que je fournis et que je me sens très impliqué dans le développement de mon entreprise. Etant le seul à pouvoir modifier les plans par AutoCAD, mon travail est important en phase d’exécution, mais crucial pour les réponses d'appel d’offre.

Je suis exactement dans le même cas que toi...

[Aleck_Ultimate]

Salut.

 

Je suis exactement dans le même cas que toi...

 

Je n'ais malheureusement pas de solution à t'apporter car nos situations sont probablement différentes. J'ais une hiérarchie compréhensive et proche de ses employés, et en tant qu’apprenti je n'ais pas encore énormément de travail, et l'entreprise est encore capable de tourner sans moi car je ne suis arrivé qu'il y a quelques mois, mais c'est effectivement ce que tu disait de ta situation dans un autre poste récent qui m'a décidé à faire celui-ci.

 

Si tu en prend conscience c'est dèja la moitié du boulot.

[Aleck_Ultimate]

Si ce n'est pas forcément facile pour tout le monde, un bon conseille dans ces cas là : la bonne humeur sauve tout !

[zza427]

Tu as raison, il est très important de temps en temps de lever la tête de toutes nos tâches afin de se poser des questions pour savoir si on est bien là ou on est, si on travaille bien ou avec trop de pression, si on a besoin d'aide, si on est heureux.

Ça peut paraitre ridicule a certains, mais comment faire du bon boulot si on est malheureux ou en souffrance, qui peut être efficace dans ces conditions?

Des fois il suffit de réorganiser les choses différemment, de prendre quelqu'un pour nous aider une semaine, des fois ça suffit à rendre le travail a nouveau agréable.

On n'est quand même pas au boulot pour se faire du mal.

[Aleck_Ultimate]

Comme on dit, la nuit porte conseille, il y a une notion que j'ais contournée malgré moi : il y à bien moins de chances de faire un burnout en travaillant 50 h par semaine avec un travail reconnu à sa juste valeurs, qu'avec 35h en étant pressé comme un citron par l'entreprise par "si ça te plais pas tu peut partir y'en à 50 derrière la porte qui attendent de prendre ta place".

 

Un peut rassuré DenisHen ?

[DenisHen]

il y à bien moins de chances de faire un burnout en travaillant 50 h par semaine avec un travail reconnu à sa juste valeurs, qu'avec 35h en étant pressé comme un citron par l'entreprise par "si ça te plais pas tu peut partir y'en à 50 derrière la porte qui attendent de prendre ta place".

Le problème est que je fais 50h/semaine et suis pressé comme un citron... De plus, ma direction cherche depuis des années un dessinateur Autocadien / topo / développeur / ... Mais ils ne trouvent pas... Donc, personne pour prendre ma place...

 

Un peut rassuré DenisHen ?

 

Merci, mais je suis encore loin du burnout, enfin je pense, car je suis très suivi de très près par mes médecins, je suis bipolaire, donc, à la moindre alerte, le burnout sera diagnostiqué... ;)

[nG! Hebus]

Salut,

 

Il n'y a pas si longtemps (Novembre) j'ai (avec l'aide de mon chef) eu une période de creux...

Je ne parle pas de burnout, mais plus d'un sentiment de frustration, j'explique rapidement pourquoi.

J'ai souhaité (de mon plein gré) essayer de gérer une affaire avec un process un peu particulier que je ne maîtrise pas. "On" m'a laissé me démerder et j'ai pas trop chercher à être aider sur ce chantier. La date de fin de chantier arrivant, mon ex-chef c'est alors inquiété de savoir ou j'en étais.

 

Arrivés sur site, nous faisons le tour de l'installe avec le Client, le monteur, notre contact sur place, lui et moi. j'ai eu le droit de sa part à toutes les expressions faciales et "réprimandes" orales, comme quoi c'était n'importe quoi, que ça ne davait pas être fait comme-ci, comme-ça. Que le monteur sois disant spécialiste ne savait pas ce qu'il faisait, que notre contact n'avait pas compris ce qu'on lui demandé.

 

Enfin bref, un joyeux discours devant un client un peu déboussolé qui est venu me demandé si tout allez bien?

 

OUI c'est bien le client qui au lieu d'en rajouter une couche, c'est inquiété de savoir si tout allez bien.

 

Le lendemain j'était en arrêt (pour 3 semaines, et mon médecin m'a gentillement précisé qu'elle ne m'avait jamais vu comme ça, que j'était pourtant jeune et que dans mon état de nervosité elle se demandait si elle ne devait pas mettre en observation, 17/11 de tension à 28 ans), car dépité et à bout de nerf d'avoir passé 2 mois et demie à avancer sur un projet dont le client était plutôt satisfait, pour me faire démonter par ma propre hiérarchie.

 

Ca m'est passé, je suis de nouveau au boulot, j'ai vu pour changer de chef. La pression venait principalement de moi, en me mettant la pression pour réussir tout seul et en me faisant "flingué" par ma hiérarchie après, cela était la goutte d'eau de trop.

 

 

PS : A tout le monde! Ne soyez jamais trop exigeant avec vous même, d'autres le seront déjà bien assez pour vous.

 

 

Cordialement

[x_all]

Les avantages de l'age...

 

quand on à un peu vécu avec des chef soupe au laid, les DRH vache et des petits patrons ronchons, on se blinde un peu... C'est vrai qu'il y a de la pression au boulot, l'éthimologie du mot travail devrait nous pucer l'oreille en 4g.

Alors bon, il faut bien sûr, tout faire pour être ''droit dans ces bottes'' et en paix avec sa conscience professionnelle. Pour ça, il convient de faire de son mieux avec les moyens et le temps qui nous sont alloués. En BE on à souvent une activité en dent de scie, et il faut savoir mettre un coup de collier quand il faut, et profiter des creux pour s'autoformer pour "rester au top". mais malgré toute la meilleure volonté du monde...

 

On peut toujours faire mieux et une technique de management consiste précisément à appuyer là ou ça fait mal, sur la conscience professionnelle. Ces techniques, ne sont pas forcément connues du grand public car comme avec les prestidigitateurs, si le public connait le truc, ça n'impressionne plus grand monde.

Alors bien sur, il est plus rentable pour un patron d'avoir 3 personnes qui font le boulot de 5, plus confortable pour un cheffaillon de faire croire qu'il est le seul à savoir gérer un chantier, plus lâche pour un DRH de placardiser un cadre pour qu'il démissionne de lui même (et au passage économiser la prime de licenciement).

 

Donc, avant de s'auto bouffer le foie, si vous êtes en paix avec votre conscience professionnelle, regardez un peu à qui profite le crime... Si c'est justifié par une situation économique? Si ça ne sert pas des intérêts d’ego injustifiés...

 

et soudain, la tension retombe...

[DenisHen]

Judicieuses remarques...

 

Donc, avant de s'auto bouffer le foie, si vous êtes en paix avec votre conscience professionnelle, regardez un peu à qui profite le crime...

 

J'opterais plus pour le Rasoir d'Ockham : la solution la plus simple est souvent la meilleur... Personne d'autre ne profite du crime que son supérieur hiérarchique, Quel que soit son niveau...

 

Mais ce n'est que mon avis...

 

Les miens on adopté la politique du "jusque là, tout va bien...".

[zebulon_]

J'opterais plus pour le Rasoir d'Ockham : la solution la plus simple est souvent la meilleur...

C'est vrai qu'on rencontre tellement d'"antiockham" qu'on se croit arrivé dans le monde des Shadocks. Eh oui, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? On se demande si ce n'est pas ça la philosophie dominante... On la désigne par "usine à gaz" ou par le néologisme "philosophie usinagazesque".

De temps en temps, sur ce forum, on s'adonne à l'un ou l'autre challenge lisp. Bien souvent, il y a plusieurs solutions proposées qui mènent toutes au même résultat, mais c'est la plus simple qui est la plus élégante, voire la plus rapide. C'est Antoine de Saint-Exupéry qui écrivait dans Terre des Hommes la chose suivante : « Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n'y a plus rien à ajouter, mais quand il n'y a plus rien à retrancher »

 

"jusque là, tout va bien...".

C'est ce que dit celui qui tombe du 50ème étage avant de s'écraser sur le pavé !

 

Amicalement

Vincent

[DenisHen]

C'est ce que dit celui qui tombe du 50ème étage avant de s'écraser sur le pavé !

Du cinquantième étage au premier, c'est, "jusque-là, tout vas bien"... Mais au rez-de-chaussée... "Oops... On n'a pas prévu un truc là, parce-que ça devient urgent..."

 

Cela symbolise bien mon boulo, enfin, la politique de ma direction... On me pose la question sur des appels d'offre, je leur répond que "tout est faisable, mais il faut s'y préparer, étudier les différentes phases, nos compétences..."... On me répond : "on verra le temps venu", et je leur rétorque : "donc, quand il sera trop tard..." et j'ajoute régulièrement : "Comment notre commerciale (je dis bien commercial, il vendrait des roues de bagnoles ou des carottes rappées que ce serait pareil) peut estimer un temps de travail sur un truc dont on ne sait encore rien..."

 

Généralement, on ne me répond rien et, quelque mois plus-tard, je me retrouve dans la merde avec un dossier sur mon bureau que je ne sais pas faire (ou trop peu car la dernière fois que j'en ai fais un, c'était il y a 20 ou 30 ans) mais que je dois livrer la veille...

 

Et je pense que cette pratique de la direction résume bien une des phases du BurnOut...

 

En gros, on me pose la question, mais on ne veut pas de ma réponse... C'est très frustrant...

[Aleck_Ultimate]

Il faudrait que je retrouve l'étude, mais quand des chercheurs ont voulus tester quelle environnement de travail permettait d'augmenter le rendement, les employés travaillaient de plus en plus et de mieux en mieux que l'on monte ou que l'on baisse la température, la luminosité, le bruit ambiant ex...

 

En fait, un employé travail mieux dés lors qu'on se soucie de lui, même si ça veut dire le mettre dans un environnement surchauffé et crépusculaire car c'est pour voir si il s'y sent mieux.

 

C'est ce que je suis en train de découvrir en ce moment : le plus important c'est l'attention et la reconnaissances.

 

Bon courage DenisHen.

[DenisHen]

Bon courage DenisHen.

 

Merci Aleck, c'est devenu une question d'habitude maintenant... ;)

[PyrN]

Bonjour,

 

Pour apporter mon témoignage qui n'est pas complètement un burnout mais que s'est approché de la dépression...

 

J'ai quitté le métier de projeteur infrastructure.

 

Enfin pas le métier que j'ai aimé mais celui qui l'est devenu.

 

Je l'ai exercé pendant 10 ans ( pas une très longue histoire mais significative tout de même).

Les premières années ont correspondu à mes attentes : un travail de bureau pour la très grande partie ( élaboration des plans et des pièces écrites) , bras droit de l'ingénieur, interlocuteur du client et des partenaires ( participation aux réunion d'étude de conception) , suivi de travaux pour de petites opérations .

Un métier varié , prenant, épanouissant.

 

Et puis est venue la crise : les dossiers arrivaient sur le bureau et à peine ouverts on était déjà dans le rouge ( délai resserré, budget déjà dépassé ).

 

On segmente l'organisation du travail, on optimise : je ne fais plus que du dessin.

Je ne trace que du trait : sur de grands projets je passe des mois sur la même thématique.

 

La lassitude s'installe insidieusement... Mon cerveau se met en mode "travail à la chaine" devant un écran.

Je ne participe plus aux réunions d'études, plus de contact avec l’extérieur, plus de contact avec les partenaires... Mon sentiment : "être un simple grouillot"... et on me le rend bien...Autocadien, covadisien...

 

Je cherche à changer de boite : on me propose le même poste...

Je comprends que le métier a changé. Confirmation d'anciens collègues qui font le même constat.

 

Le temps fait son travail, je suis de moins en moins efficace. Je me rend compte que le peu de temps de travail passé en dehors de l'écran m'était "vital" ... c'était des respirations... Je n'ai pas/plus le profil psychologique pour m'épanouir dans le métier tel qu'il est devenu.

 

Rappel à l'ordre .. je n'avance plus ... Allumer l'ordinateur le matin est devenu une souffrance...

Remise en question.

Aide médicale.

 

Prise de conscience. Il faut quitter ce métier.

Je m'interroge, je planifie, je me projette.

 

Un concours !

 

Je rentre dans la fonction publique : technicien voirie.

Je revis ! Je reprends même plaisir à Autocad , Covadis.

Tout se remet en place , je suis bien à ma place. Autonomie, transversalité, variété...

 

Dans la vie rien n'est figé. Il faut lever les yeux pour comparer et envisager. Ne jamais s'enfermer trop longtemps.

[Aucun_Intérêt]

C'est assez similaire à mon cas Pyrn.

 

N'ayant pas eu la chance (et les finances) pour faire de grandes études, j'ai décidé de gravir les échelons un à un, quitte à me manger des claques pour y arriver.

J'ai donc travaillé d'arrache pied et avec la passion qui m'anime pour m'accomplir dans mon métier.

Dessinateur, dessinateur projeteur, projeteur, technicien, technicien projeteur, ingénieur .....

Sauf que mon statu d'ingénieur n'existe pas sur mon contrat et mon bulletin de salaire alors que je suis vendu comme tel.

C'est là où je suis un peu con con mais il n'y a tellement pas de boulot que me tirer (parce que discuter avec mes boss successifs n'a servi à rien) ailleurs était tout bonnement impossible.

 

Mais j'ai gardé l'espoir en me disant que la carotte était toujours atteignable.

 

J'ai donc dit Amen à tout ce que l'on me refilait, occupé des postes en intérim et occupé des postes permanents qui ne relèvent absolument pas de ma fonction.

Ce n'est pas à un technicien de gérer des projets/chantiers tout seul à plusieurs millions pour certains.

Ce n'est pas à un technicien de budgéter à l'année, de planifier les ressources à l'année, d'articuler des plannings de travaux/de charges à l'année et de faire les prévisions clôtures annuelles et autres facturations à la mords moi le nœud.

Ce n'est pas à un technicien de faire le boulot de 2, 3 voire 4 personnes à la fois (pour faire le pompier ou pas) et sans ressource matérielle (c'est bien pour la boite, ca coûte pas cher et ca rapporte !)

Ce n'est pas à un technicien d'être l'interlocuteur privilégié du client.

 

Mais j'en ai mangé en me disant que ca me servirait. J'ai pourtant alerté maintes fois sur les problèmes de ressources (avec mes plannings de charge à l'appuis). On te répète que c'est provisoire et que bla bla bla bla bla...

Alors évidemment, quand tu fais ca, au bout d'un moment :

• 
   
  
• tu ne vois plus ta famille,
  
• tu te tues physiquement au boulot (à deux doigts de finir à l'hosto à un noël),
  
• tu fais des conneries (et pas que des petites) sur tes dossiers,
  
• tu ne sais plus où t'en es, persuadé que la faute vient uniquement de toi et que tes compétences sont quasi inexistantes au final.
  

 

Et là bizarrement ton patron vient te voir pour te rappeler à l'ordre et aussi pour te dire tu vas redescendre sur terre, avoir un n+1 en renfort et retourner dans les rangs.

 

Je me retrouve en partie à pétaouchnok, à limite réclamer du taf quand j'en ai pas et avec d'autres trucs pas agréables non plus, à expliquer comment tourne la boutique et à faire le gratte papier.

 

Et bien non, tant pis. J'en ai plus que ma claque.

Donc j'ai posé mes limites (à moi même et à mon chef) et suis tranquillement en train de préparer mon départ (où ca, je ne sais pas encore :(rires forts): )

Je fais mes petits horaires de bureau (finies pour le moment les journées à bosser entre 11 et 20h d'affilée pour trois grains de riz) et rentre pour voir ma famille.

 

Alors attention à bien faire le distinguo entre ce que vous devez faire et ce qu'on vous refile au fur et à mesure et à prendre du recul sur l'activité et la passion qui vous anime. ;)

[philsogood]

Salut Hugo

Tu veux être reconnu sur ce que tu fais? Fais une VAE et casse toi!! :P

Phil

[Aucun_Intérêt]

Salut Phil, pas certain qu'une VAE apporte quoi que ce soit. Cela dit j'y pense à mes heures perdues car tu n'es pas le premier à me le dire. ^^

[philsogood]

ben sache que tu n'as pgrand grand chose à perdre et tout le temps que tu y passeras sera autant de temps ou tu ne seras pas au bureau!! :P

[Aucun_Intérêt]

Et bien c'est peut être plus tordu que je ne le pensais.

Une connaissance de confiance au boulot m'a indiqué, sans apporter de preuve, que mon chef me discredite auprès d'employeurs/recruteurs quand ils l'appellent pour vérifier mon parcours.

Je n'en ai pas la certitude et j'ai encore du mal à comprendre sa motivation si c'est vrai.

Si c'est le cas #¿!*@$ !!!

[Aleck_Ultimate]

Du mal à comprendre sa motivation ? T'est bon et il veut pas que tu parte sans avoir à t'augmenter, si c'est effectivement vrai c'est aussi simple que ça.

[Aucun_Intérêt]

Nan, je suis le bouc émissaire à qui on fait pleins de promesses illusoires et si je me casse, il a personne sous la main.

Ou alors il veut m'orienter dans ma carrière pour pas que je le recroise.

Après c'est spéculation et théorie.

[PyrN]

Nan, je suis le bouc émissaire à qui on fait pleins de promesses illusoires et si je me casse, il a personne sous la main.

Ou alors il veut m'orienter dans ma carrière pour pas que je le recroise.

Après c'est spéculation et théorie.

 

Pour savoir si ton chef te discrédite auprès d'employeurs/recruteurs, tu peux te rapprocher des dits recruteurs pour leur demander de manière diplomatique si ils ont eu des retours.

[Aucun_Intérêt]

Salut tout le monde.

Effectivement j'ai déjà entamé cette démarche. Pour l'instant c'est de l'intox.

[PyrN]

Un des soucis du poste de projeteur c'est que c'est un métier mal défini ou l'on peut se retrouver dans un poste multitâche rapidement ingérable.

Il faut être vigilant à ne pas dire oui à tout malgré le désir d'évoluer et de faire ses preuves.