Tw03Alls

Bonjour, vous serait-il possible de remettre à disposition votre méthode ?je vous en remercie par avance. Tw03Alls

Bonjour, Les caractéristiques du convoi D3F2 ( 250 T sur 37 m) sont données par la circulaire SETRA de 1983 relatives aux DEFINITION DES CONVOIS-TYPES ET REGLES POUR LA VERIFICATION DES OUVRAGES D´ART Vous y trouverez les types C (<120T), les types D (<250T), et les types E(<400T)

Bonjour Patrick, et autres !!! est-ce que ta feuille de calcul suivant les règles de du catalogue de 98 est toujours disponible ? Je suis très intéressé. Peux-tu me l'envoyer à twoballs@hotmail.fr ? D'avance merci.

Bonjour, il faut faire l'inspection caméra du réseau unitaire, identifier les zones d'accumulation, les branchelents pénétrants faisant obstacles à l'écoulement, les zones à contrepente, les zones cassées, étudier les possibilités de redonner de la pente ou de l'autocurage sur les sections defaillantes, changer les morceaux cassés, ou faire du chemisage, reprendre les branchements. Après, on peut équiper les bouches avaloirs en bouches syphons anti-odeur et mettre un système de chasse en tête des tronçons de réseaux pour augmenter la capcité de curage.

Abonnement au site DICT.FR Déplacement fréquent dans les petits communes pour consulter les plans de réseaux d'AEP, Assainissement exploités en régie !!! Salut à plus

Salut, c'est quoi l'objectif initial : stocker et relarguer un ruissellement de manière efficace ou construire un bassin pour dire qu'on a construit un bassin ? Les hypothèses de calcul et de site sont les données de base, si tu n'as pas la place de faire le bassin qui va bien avec le volume de stockage nécessaire, il faut peut-être chercher une autre solution ? Ou annoncer clairement que le bassin ne pourra jouer son rôle que jusqu'à une certaine limite. Il faut peut-être rechercher des solutions d'aménagement qui limitent les surfaces imperméabilisées à collecter ? En résumé, chercher à tordre les hypothèses pour arriver à justifier le dispositif possible à mettre facilement en oeuvre ne semble pas être la bonne démarche. En espérant avoir permis d'éviter une grosse catastrophe. Salut à la prochaine peut-être.

Le bouquin du SETRA qui va bien : Signalisation temporaire - Manuel du chef de chantier. Volume 1 : routes bidirectionnelles et cela coute 18.29 € auprès du SETRA, mais c'est vrai que c'est insupportable comme dépense pour obtenir un marché de quelques dizaines de milliers d'euros. Toutes les boites de TP devraient avoir celà et les autres fascicules de signalisation temporaire sur une étagère !!! Salut à +

Bonjour, je crois que je vais te faire transpirer mais la conception de chaussée, c'est d'abord de créer l'axe selon les règles de construction type ARP pour toi (ou ICTAAL ou ICTAVRU), à savoit respecter des rayons mini, des enchainements de courbes/contrecourbes et seulement à la fin voir où tu tombes lorsque tu appliques les demi-largeurs de chaussée et les surlargeurs en rayon s'il y a lieu pour déterminer l'emprise dont tu as besoin ou déroger à certaiens règles si ton emprise est contrainte. Si tu ne respectes pas les normes de construction routière, il faut que ton MOA le sache et l'ai validé. salut à plus.

Bonjour, j'avais cru comprendre à l'époque où je faisais du réseau ass et AEP qu'on n'avait plus le droit de faire les Détails Estimatifs en utilisant les correspondances de longueur mais qu'il fallait chiffrer avec le vrai détail des pièces à installer ?

Bonjour, les règles realtives aux garde-corps sont différentes selon qu'on se trouve sur voirie en domaine public, ou qu'on se trouve en bâtiment ou en voirie domaine privé. Pour les garde-corps sur ouvrages d'art c'est la norme XPP 98-405 qui s'applique à la laquelle on couple les règles d'accessibilité PMR. à+

Je confirme : j'ai utilisé STRUCTURB pendant plusieurs années. C'est simple, rapide et carré, il faut le calcul au gel, et dispose d'un grand nombre de combinaison de structures y compris avec des pavés et des dallages. Il vous donne les différentes couches avec épaisseurs de mise œuvre. à+

Bonjour, je suis très circonspect sur les propos de Dinosaur, avec tout le respect que je paux avoir pour lui, vis-à-vis du risque de mise en charge de la canalisation. Ce genre de cas n'arrive que sur des réseaux pluviaux ou mixtes. Et là, je crois la question est posée pour un réseau EU strict. Je rappelle qu'1 Ø200 régulièrement posé à 1% permet de faire passer un débit EU de 2000 EH et un 1 Ø200 penté à 10% peut faire passer à pleine section (95% de son ouverture), un débit max de 100 l/s avec une vitesse d'écoulement de 3,6 m/s. Je serai donc hyper surpris qu'il puisse mettre en charge son Ø200 avec le débit de pointe d'une maison de retraite. Perso, j'estime le débit de pointe EU d'une maison de retraite de 300 résidents à guère plus de 4 l/s en instantané. Pour conclure, le problème de la pente réside dans les capacités que peuvent tenir les matériaux des produits utilisés (résistance à l'abrasion de l'intérieur de la paroi des regards qui reçoivent le flôt d'EU (<= possibilité d'imperméabiliser à la résine l'intérieur du regard, mise en place de brise-jet en travers du regard, installation de coudes en entrée et sortie pour accompagner le flux,....) et comme l'a dit Aucun_interet, les difficultés techniques de mise en oeuvre. Salut @+

Salut Phil, Si tu veux vraiement limiter limiter le problème, il faut faire déborder les couches de fondation sous ton bassin de 2 à 3 m, voir plus ? au délà du diamètre de ton bassin plutot que de l'arrêter net comme sur ton dessin. Il y aura alors une continuité du sol de fondation entre la partie sous bassin et la partie sous canalisation. Pour que tes tuyaux ne bougent pas, il faut qu'ils soient posés selon les règles du fasc 70 et que l'assise et le lit de pose des tuyaux soient dimensionné en fonction des caractéristiques du sous-sol et sol sur lequel tu va fonder tes ouvrages. C'est le sol environnant qui tient en place le tuyau. Si le sol est instable, le tuyau suit et bouge. Les enjeux sur les fuites sont les mêmes, qu'on parle d'un collecteur en sortie de bassin de STEP ou d'un collecteur de transport sur un réseau d'eaux usées en agglomération. Si les entreprises sont qualifiées dans le domaine, elles doivent pouvoir avoir le même rendu de qualité quelque soit la configuration du tuyau. Enfin, pour limiter le risque de fuites, il faut faire un minimum de contrôles : - contrôle d'étanchéité (à l'air ou à l'eau) - contrôle de compactage des plateformes et des tranchées Une entreprise qui se sait contrôlée augmente sensiblement et nécessairement sa qualité de réalisation. Je ne situe pas clairement ta position dans le projet sur lequel tu travailles ( Maîtrise d'Ouvrage AMO, Moe, Entreprise Mandataire du marché, ...). Et je suis vraiment très surpris qu'au stade de l'étude ?, tu envisages déjà qu'il puisse y avoir des tassements différentiels aussi importants. Si ce problème vous semble très probable, il faut faires des études de sol aux endroits des ouvrages pour connaître les dispostions géotechniques qu'il faudra mettre en oeuvre pour assurer la stabilité. Peut-être est il préférable de procéder une substitution complète de la plateforme sur une épaisseur que l'étude géotechnique définira. Peut-être y-t-il lieu de procéder à la pose des canalisations avec une substition de sol + ou - importante sous le lit de pose , peut-être renforcée par une enveloppe géotextile ?? Pour ton information, j'ai déjà prescrit lorsque j'étais en BA Assainissement la réalisation d'une poutre en béton Armé sous le lit de pose d'une canalisation en fonte afin de traverser une lentille de sol très compréssible qui risquait de se tasser sous le seul poids de la canalisation et de son enrobage. Pour que les entreprises fassent un bon boulot, il faut pouvoir leur donner ce genre d'informations. Bon j'arrête là ! Salut @+

Bonjour, à mon avis tu devrais juste rester sur de la conduite fonte ductile à emboitement PAM. Son joint permet une grande déviation d'angle en cas de mouvement de sol et est prévu pour fonctionner sous pression. Si ça bouge beaucoup, les conduites lacheront de toute façon parcequ'elles ne sont pas extensibles. Les manchettes souples, à ma connaissance, sont prévues pour essayer de raccorder des conduites de nauture et diamètre incompatibles mais résister aux mouvements de sols. Petite remarque qui à mon sens est préliminaire à ta question : Ton ouvrage devrait être fondé de manière à ne pas rencontrer de tassement différentiel parceque si cela arrive, la conduite présente dans la fondation de l'ouvrage va descendre avec lui. Ce n'est pas celle à l'extérieur qui va descendre (ou se soulever ??) si elle posée dans les règles du fascicule 70. Dés lors, la rupture de la cana ne sera qu'une "petite" conséquence par rapport au désordre qui va survenir sur ton ouvrage GC. Et la qualité de lit de pose et de compactage des remblais des canalisations hors ouvrage devrait être conformes aux règles. Une fois tout cela normalement dimensionné, contrôlé pendant et la fin de la mise en oeuvre, les tassements différentiels devraient être infimes. En résumé, je ne crois pas avoir répondu à ta question parceque cela me semble "un peu bricolage", ce que tu es en train dessiner. Tchao. @+

Bonjour à tous, je me permets de rajouter ma prose. En termes de bassin, le seul véritable interêt d'un profil en long est celui du profil hydraulique de l'écoulement ( hauteur de charge sur les cana, pente des collecteurs, positions des ouvrages d'entrée et sortie, hauteur de remplissage lors des mise en charge,...). Et dans ce cas, la coupe du bassin n'est qu'un élémént du profil en long hydraulique. Après, je ne suis pas géomètre. Je ne sais pas comment font les géomètres aujourd'hui pour implanter les bassins. Moi, j'en suis resté à la bonne vieille arrête de poisson mais je pense que maintenant c'est dépassé. Salut, @+

Salut, dans ton cas le problème n'est pas la hauteur de chute, il est déjà lié à la présence d'un fossé trop agressif. Dans l'absolu, il ne doit pas y avoir de glissières autour d'un giratoire sauf s'il y a vraiment nécessité d'isoler un obstable non fusible. L'aménagemetn devrait normalement être équipe d'une zone de récupération et d'une zone de sécurité. La largeur recommandée pour la zone de récupération (bande dérasée permettant à un véhicule de s'arrêter) d’une route neuve est au moins de 2 m et la zone de sécurité (zone sans aucun obstacle non fusible) doit être de 4 m. Tu dois par ailleurs traiter ton fossé avec des pentes latérales assez douces pour éliminer le risque de retournement du véhicule qui s'y enfonce. Prends connaissance du guide SETRA sur le traitement des obstacles latéraux qui traite de ce sujet. Si tu ne peux pas respecter tout cela, alors il faut que tu cales les glissières devant ton fossé. Selon la rigidité des glissières que tu installes (GRC, GS2 ou GS4), l'espace nécessaire à la déformation de la glissière devant l'obstacle varie : - face de la GRC entre 0,50 et 0,75 m devant l'obstacle - face d'une GS2 entre 0,75 et 1,25 m devant l'obstacle - face d'une GS4 à partir d'1,25 m devant l'obstacle Ces éléments sont donnés par le fascicule 1 du guide sur les dispostifs de retenue des véhicules En espérant avoir pu t'aider, @+

Salut, tu peux dessiner en 3D sur Autocad. Ca va pas mal. Tu peux récupérer des volumes, des surfaces, faire de l'insertion paysagère pour avoir des élévations d'ouvrages. Pour les coupes, c'est un peu plus chaud c'st surement lié au fait que je ne suis pas un véritable dessinateur, ni un expert AutoCad. Salut à plus.

Salut JPEG, je serai de toi, je m'adresserai à une bôite de fabrication de signalisotion type SIGNATURE, GIROD ou LACROIX, ils te feront les planches des diagrammatiques nikel selon ta demande avec le dimensionnement des supports et des massifs de fondation. En échange, ils auront connaissance de l'opération sur laquelle tu travailes et pourront se positionner à l'appel d'offres. tchao

bonjour, peux-tu préciser ce que tu appelles "ancrage dans des talus existants" parce que cela normalement ça correspond à la réalisation du clouage du talus dans le massif soutenu par le biais clous ou de barres précontraintes type DYWIDAG ? Après, si c'est monter un remblai en appui sur un talus existant, tout dépend de la pente de talus que doit avoir ton remblai ? Si tu n'as pas de contrainte d'emprise et que le talus existant est en place depuis longtemps (bien tassé et ne risquant plus de bouger) , c'est le coef de glissement de ton matériau de remblai qui ve te dire à combien du taluter ton remblai. Ensuite, si tu es contraint en emprise, tu te rapproches plus d'un remblai terre armée ou remblai tenu par des nappes géotextiles. Dans ce cas là tu peux tailler ton talus existant en redan et la nappe géotextile est prise entre le terrain exitsant et remblai que tu rammènes par dessus et ainsi de suite en montant. Une autre solution consite à faire une bêche bien massive en béton ou matériau insensible à l'eau en pied de talus existant, qui va bloqué ton nouveau remblai sur ton talus existant. Il faut que cette bêche soit positionnée de manière à bloquer le cercle de glissement généré par la combinaison desefforts du remblai nouveau sur le talus existant. Si tu es sur une situation "chaude", tu devrais faire appel à un géotechnicien. Salut @+.

Bonjour, je travaille au sein d'un BE de conseil general. Nos dessinateurs utilisent MENSURA pour faire les projets routiers (renforcement, giratoires principalement) et AutoCad pour les ouvrages d'art. On passe également des marchés de Maîtrise d'Oeuvre avec des BE privés généralement jusqu'à la mission ACT. Après, on s'occupe des travaux. Nous n'imposons pas grand chose sur le format de fichier à rendre. On veut juste du DWG qui puisse être lu/imprimé avec de l'Autocad Light par nos controleurs de travaux et qui puissent être repris par les entreprises pour faire les récolements de travaux. On part du principe que le BE doit tout faire, de la mainière qu'il lui va le mieux. On ne veut pas un produit fini et ne pas avoir à reprendre derrière. On sort des épreuves papier ou PDF des plans et des notes de calculs que l'on contrôle, qu'annote et qu'on notifie au BE pour prise en compte des corrections à faire jusqu'à ce qu'on soit OK sur le rendu du projet. En espérant avoir contribué.

Salut à tous, perso, je me calerai plutôt sur l'angle de déviation que peut accepter le joint du regard au départ et en réception. @+

Alors comme ça, maintenant ce sont les entreprises qui choisissent les CCTG qu'elles veulent bien respecter ? Surtout parcequ'elles gagnent plus d'argent avec les règles de dimension de tranchée du dernier Fasc 70 (tranchées plus large=> plus de déblais=> plus de blindage=>plus de remblai). Enfin je dis ça, mais c'est pas le maître d'oeuvre qui paie la facture.

je n'utilise pas mensura pour faire du réseau. Et je je ne suis pas sur qu'il soit bien adapté pour faire de l'AEP( réglement du fascicule 71) alors que l'assainissement est régit par les fascicules 70 (1 et 2 ). Dans la mesure où ton réseau "type tranchée ouverte" s'arrête à l'endroit où il y a ton puit de forage et qu'il redémarra en "tranchée ouverte" à partir du puit de sortie, pourquoi ne pas créer 2 parties de réseaux et simplement un parcours en plan entre les 2 qui te donnera le profil TN sous lequel tu viens tracé la position de ta canalisation en forage dirigé ? De toute manière, en forage dirigé, tu ne maîtrise pas la pente des canalisations, l'entreprise n'a besoin que de la côte de départ et la côte de sortie.

salut, moi perso je ferai une interruption de tronçon,et je ferai 2 tronçons vu que c'est l'AEP, tu fais ce que tu veux en Profil en long. Il reste certes la partie forage qu'il faut se palucher un peu manuellement. Mais Mensura t'aura déjà fais le profil TN.

Salut, il faut penser que les WC adaptés aux handicapés ne sont pas réservés à leur usage exclusif. handicapé ne veut pas dire être dans un fauteuil roulant. De plus, les valides peuvent et doivent également pouvoir s'en servir histoire de faire des économies dans les aménagements et moins de sectarisme. Donc la hauteur de 1,80 m devant la cuvette pour qu'un homme puisse se tenir droit pour pisser n'est pas du luxe.