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mikL44

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Tout ce qui a été posté par mikL44

  1. mikL44

    ligne bicolor

    Salut, Y'a un lisp ici http://cadxp.com/topic/23867-deux-couleur/
  2. Ca me le faisait quand j'écoutais la radio via Winamp et que j'utilisais Autocad en meme temps, F8 ne fonctionnait plus dans Autocad parcqu'utilisé par Winamp.
  3. Salut Tu n'aurais pas un logiciel d'installé en parallèle ou en fond de tache et qui utiliserait la touche F8 pour une fonction lui appartenant. La touche F8 serait prioritaire pour ce logiciel et du coup ne fonctionnerait plus dans autocad tant que ce logiciel tourne sut ton PC a+ mikl44
  4. Bonjour, Moi je fais ma feignasse, je post 2 liens. http://www.cidj.com/article-metier/dessinateur-industriel http://objectif-bim.com/index.php/emploi-bim/le-bim-manager Salut
  5. Bonjour, Tu pourrais mettre un fichier que tu as fais selon cette méthode, en téléchargement stp, parceque la c'est la 1ère fois que je vois ca. L'espace objet c'est pour dessiner. L'espace papier c'est pour faire t'as mise en page. Dans l'espace papier tu te sers de la commande FMULT, pour ouvrir des fenêtres qui vont te laisser apparaitre ton espace objet, tu pourras ainsi faire ta mise en page en appliquant différentes échelles, etc... Si tu peux avoir une formation de part ton employeur, n'hésites pas, c'est bien de commencer avec les bonnes bases. a+ mikL
  6. Bonjour, Va voir du coté de CONVERTPSTYLES ou de CONVERTCTB a+ mikL
  7. Bonjour, 1 - http://cadxp.com/topic/31212-zoom-etendu-automatique-dans-fenetre/ 2- Gele ou désactive le calque ou se trouve tes fenetres a+ mikL
  8. mikL44

    Rotation d'un plan

    Heeuu, en relisant bien ta question, je ne suis pas sur d'y avoir répondu correctement en fait
  9. mikL44

    Rotation d'un plan

    Bonjour, Tu tournes ta FMult dans l'espace papier, et ca devrait le faire... a+ mikL
  10. Bonjour, Autocad ne gère déjà pas le multiprocesseur, alors des vieux PC de diverses provenance interconnectés les uns avec les autres en vue de renforcer la puissance d'un pc cible je vois pas trop comment. Ca me semble être de l'ordre de la science fiction... a+
  11. Sinon j'ai trouvé ca sur le net. Essaie pour voir... Fenêtres en vadrouille Extrait d'un message du forum... un bon tuyau ! Le jour où je suis passer de mon bi-écran à mon simple... ben ma fenêtre de gestionnaire de calque se placait sur le second écran qui n'était plus là. Pour y remédier il faut faire un "alt + tab" pour me positionner sur la fenêtre. Ensuite sans toucher à la souris faire "Alt+Space" et après "L" (pour déplacer), Et enfin, j'appuie sur une des touche directionnelles du clavier pour accrocher la fenêtre au curseur de la souris. Pour finir bouger la souris pour la déplacer et revenir à une position visible source : http://joch04.free.fr/achtml/variables.htm
  12. Salut Si tu augmentes la résolution d'affichage au max, y'a pas moyen de la récupérer ? a+ mikL
  13. mikL44

    PLANT 3D

    Bonjour, Je ne pense pas puisque Plant Design Suite, comprends Autocad, Autocad P&ID, Autocad Plant 3D, Revit Structure, Autocad MEP, 3DS Max, etc... Ca va revenir à créer des sous forum qui existe deja, Autocad ou Autocad MEP ou 3DS Max par exemple. Autocad MEP par exemple fait aussi partis de Building Design Suite a+
  14. mikL44

    PLANT 3D

    ok merci pour l'info, je me garde ca sous le coude.
  15. mikL44

    PLANT 3D

    Comment avez vous fait pour la formation, parce que apparemment il y a pas de formateur en France pour "Plant3d"
  16. mikL44

    PLANT 3D

    Salut Ca va venir, nous allons très certainement y passer d'ici quelques temps...
  17. mikL44

    Le Débordé

    Bonjour, Trop drôle...... ---------------------------------------- Il nous arrive tous d’être débordés. C’est ainsi ; roi ou mendiant, nos journées ne peuvent faire plus de 24 heures, et lorsque les activités commencent à se cumuler et l’emploi du temps à se remplir, il devient difficile de prendre en charge de nouvelles missions. Dès lors, on dit être “débordé“, réponse ultime faite à celle et ceux qui demandent s’il ne vous resterait pas un peu de temps, tels des punks à chiens vous demandant si vous n’auriez pas une petite pièce qui traîne devant Carrefour-Market, et à qui vous répondez avoir déjà tout donné. Pourtant, ce qui n’est qu’un état passager chez l’être humain est pour certain un art de vivre ; mi-homme mi-agenda raturé, ces créatures de l’ombre rôdent sur nos lieux de travail, en quête d’une proie à qui expliquer qu’ils n’ont pas une minute de répit. Ces créatures échappées de l’enfer, ces monstres que l’on cache aux enfants sont pourtant parmi nous quotidiennement. Et vous en connaissez : pour parler d’eux, nous utiliserons donc le terme générique de “débordés“. L’enfance du débordé : genèse d’un trou du cul Souvenez-vous, déjà, bien avant le monde du travail : ces petits matins à patienter devant la porte d’une salle d’examens dans laquelle vous alliez passer quelque contrôle ; alors que vous discutiez tranquillement avec vos petits camarades, les yeux encore embués par le sommeil, il (nous dirons “il“, mais cela peut être “elle“) débarquait d’un pas rapide en ouvrant des yeux ronds, attrapant le premier comparse à sa portée pour commencer sa longue litanie : “Haaan, j’ai trop pas eu le temps de réviser, ya trop de trucs“, “Je vais jamais y arriver !“, “C’est trop dur ce cours !“, avant de poser des questions à l’assemblée du genre “C’était en quelle année déjà tel évènement ?” ou “T’as réussi à tout apprendre toi ?“. Le débordé n’a jamais vraiment été humain : il n’est qu’une allégorie du stress incarnée sur Terre pour tenter de transmettre son mal à un maximum de personne. C’est une sorte de MST, avec un S pour social. Le débordé a toujours eu cette petite voix et ce rire nerveux qui annoncent l’effondrement de vos barrières mentales, trompettes de Jéricho nerveuses vous donnant quasi-instantanément l’envie d’enfoncer votre poing très fort dans sa bouche sitôt que cette dernière commence à s’ouvrir. C’est pourquoi, vous vous en souvenez, lorsqu’enfin quelqu’un trouvait la force de l’envoyer chier afin de restaurer le calme matinal d’un couloir d’établissement scolaire, il s’empressait de s’asseoir au sol pour sortir de son sac des “fiches de révisions“, plus connues sous le nom de “mon cours complet écrit en plus petit” pour les érudits. On ne l’entendait alors guère plus, si ce n’est marmonnant ici ou là tel un adorateur de Satan (ou de Justin Bieber), ou trouvant la force de poser une énième question à une personne à proximité pour confirmer ce qu’il lisait dans ses fiches (de préférence, une question ultra-précise visant à laisser entendre à l’auditoire, ignorant la réponse, que personne n’avait suffisamment révisé). Si le débordé est une débordée, les fiches sont alors couvertes de petits coups de fluo multicolores. C’est trop kikinou. Mais déjà, sa puissance ne s’en arrêtait pas à si peu : même en plein contrôle, alors qu’il lui était interdit de vous adresser la parole, et que vous vous affairiez à tenter de répondre à la question “La première guerre mondiale : une guerre totale ?” (votre réponse impliquant des points Total et des mugs à l’effigie de Clémenceau fut injustement méprisée), il continuait de marmonner dans son coin tout en s’exclamant de temps à autres “Monsieur ! Je peux avoir une autre feuille s’il-vous plaît ?“, mettant ainsi la pression à tout le reste de l’assemblée qui se demandait bien ce que ce petit enfoiré pouvait mettre dans sa copie pour avoir besoin d’autant de place. En général, vous pouviez échapper au débordé en vous barrant avant la fin de l’épreuve : même si celle-ci durait 4 heures, il restait jusqu’à la dernière minute et même plus, suppliant qu’on le laisse “terminer sa conclusion, juste une dernière phrase“. Hélas, sa dernière phrase n’est que trop rarement “Adieu, je vais me pendre“, malgré vos régulières et légitimes prières. Il n’y avait guère qu’en sport que le débordé ne faisait pas de zèle. Souvenez-vous du petit enfoiré qui demandait 20 brouillons en 1 heure Ainsi a toujours été la vie du débordé : stresser autrui, courir après le temps et geindre comme un pédéraste privé de Queen. Mais aujourd’hui, le débordé a bien grandi : désormais, il a un travail. Du coup, il a toutes les chances de se retrouver dans la même boîte que vous : c’est là que l’enfer commence véritablement. Le débordé en entreprise ou le théorème de l’anti-productivisme Il est aisé de reconnaître le débordé, puisqu’il a toujours l’air nerveux : il marche vite et mal, fait des gestes rapides et maladroits, à la pause clope, il fume sa cigarette en tirant dessus au point de pouvoir se la faire en deux coups seulement, et son aura de stress est telle qu’il fait pourrir les plantes vertes dans un rayon de 5 mètres autour de lui. De fait, on trouve peu de débordés à Jardiland. Le hobby du débordé consiste à faire le tour des collègues pour aller leur expliquer, tour à tour, que merde, il a trop de boulot, il est débordé quoi, misère, il peut pas avancer ses dossiers tellement il a de missions en cours. Tout le monde s’en fout et attend avec impatience qu’il soit hors de vue pour s’exclamer “Raaah, mais quel gros con“, mais chaque jour le manège reprend. S’il ne se plaint pas, le débordé ne va pas bien ; et s’il ne va pas bien, il se plaint : le bougre est donc l’une des premières forme de mouvement perpétuel à induction paradoxale, ce qui, je l’espère, sera prétexte à transformer ces derniers en carburant dans les décennies à venir. En général, sur 1 heure de travail, il faut considérer que le débordé se plaint pendant 15 minutes, panique pendant 15 autres, tente de s’organiser durant encore un quart d’heure et consacre ce qu’il reste à du travail vaguement constructif. Je dis bien vaguement car le débordé a un incroyable pouvoir : même les moments où il travaille vraiment sont utilisés d’une manière qui laisse dubitatif ; en effet, ce bougre de corniaud est incapable d’être efficace et s’auto-alimente en travail inutile : • si vous lui confiez un dossier de 10 pages à synthétiser, il vous en rend 12 • s’il vous demande quelque chose par mail, il vous appelle dans l’heure qui suit pour vous demander si vous avez bien reçu son courriel, puis éventuellement vous faxe la même chose avant de vous rappeler pour vous signifier qu’il vous a envoyé un fax • si vous lui transmettez un dossier déjà complet à 90% réalisé par un collègue, il recommence tout de zéro car “il ne peut pas travailler avec le boulot d’autrui“. A noter que le débordé se débrouille toujours pour atterrir dans une structure où il doit bosser avec une équipe : sinon, auprès de qui irait il pleurer ? • si vous lui donnez une note à taper, il vient vous voir pour vous demander s’il doit souligner les titres, puis après que vous lui avez répondu quelque phrase impliquant des relations incestueuses avec sa mère, il revient une demi-heure plus tard demander s’il peut mettre des couleurs, et si oui, lesquelles ? Bien que son sang soit la seule couleur que vous aimeriez voir étalée partout dans son bureau, il n’hésite pas à insister. Travailler avec un débordé revient à avoir un gamin de 5 ans dans les pattes, les chances de le voir disparaître avec un kidnappeur en moins : on peut pas l’occuper plus de 5 minutes avec quelque chose sans qu’il n’aille emmerder quelqu’un ; tout le monde a donc cette envie constante de lui mettre une torgnole pour le renvoyer derrière son bureau et le faire bosser un peu, ce qu’il ne comprendra pas car le débordé n’a pas l’impression d’être improductif, bien au contraire : passant ses journées à stresser au boulot, il est persuadé d’être à fond dans son emploi. Et désireux de toujours bien faire, il finit toujours par dépasser les consignes qui lui sont dictées, et donc fait mal. Débordé, incompétence & autres applications pratiques Le débordé est par ailleurs automatiquement incompétent et tient à le faire savoir à tout un chacun. Qu’importe son domaine de spécialité, vous finissez toujours par disserter avec vos collègues sur la manière dont il a pu obtenir son diplôme : l’a t-il acheté ? A t-il triché ? Lors de l’oral de fin d’études, est-ce que l’examinateur a pu comprendre que ses clignements d’yeux répétitifs signifiaient “pipe” en morse ? Aucune explication rationnelle ne semble pouvoir mettre un terme à vos interrogations. Alors qu’à titre d’exemple : • s’il est communicant ou publicitaire, ses documents sont invariablement illisibles et bourrés de fautes • s’il est expert web, il finit toujours par vouloir retoucher le site qu’un autre a fait et par le planter • s’il est “community manager“, non seulement il a la diplomatie d’une palourde, mais accessoirement, il n’arrive même pas à gérer sa propre insertion dans le monde réel • s’il est expert en développement durable, il imprime tous ses powerpoints (une copie par participant aux réunions), envoie des courriers en plus de ses mails, n’éteint jamais son ordinateur et peut réimprimer 8 fois le même document de brouillon parce que la couleur a merdé là ou qu’il avait oublié une faute ici Cependant, le débordé a toujours l’impression d’être foutrement compétent : il lui suffit d’assister à une conférence sur un thème lié à son boulot (car son boulot, c’est sa vie et il veut toujours être au top) ou de lire un article du même type pour venir rebattre les oreilles de tout le monde avec. Lorsqu’il parle de son sujet, il en parle toujours d’une manière totalement décalée avec la réalité : s’il s’adresse à des néophytes, il part instantanément dans des détails techniques (qu’il ne maîtrise lui même pas) sans intérêt et les perd au bout de 25 secondes ; à l’inverse, face à un public de vieux briscards, il parle comme s’il s’adressait à des enfants de 5 ans et enfonce des portes ouvertes (tout en réussissant l’exploit, malgré la simplicité de son propos, à se perdre tout seul). Parfois, l’incompétence crasse du débordé finit, par miracle, par atteindre la hiérarchie (pour peu qu’il n’ait pas eu son boulot au piston), auquel cas il est gentiment recadré, ce qu’il vit très mal : lui qui fait tout pour bien faire et qui bosse bien plus que les autres ! Pourquoi lui fait-on des remarques ? Le débordé ne comprend jamais que ses résultats sont moindres, et que si sur 8h de boulot, il n’en passait pas 6h à pleurer et/ou à faire des tâches inutiles qu’il s’auto-impose, il serait diablement meilleur. Alors, ne voulant pas être viré, il tente d’en faire encore plus, et de faire encore mieux : de fait, il devient proche du niveau 0 de la productivité, et reçoit un coup de pied au cul. C’est à peu près à ce moment là qu’on ouvre le champagne, en général. Que faire face à un débordé ? Un débordé entre dans mon bureau pour me demander si je ne peux pas lui transmettre un document. Dois-je ? Jamais ; d’abord, demandez-lui dans quel but il souhaite ce document : il est quasiment certain que ça lui sera parfaitement inutile, et qu’il s’en rendrait compte seul s’il avait un ersatz de sens pratique ou d’autonomie. Il se mettra à geindre comme il se doit, mais ne cédez pas à ses caprices : même s’il se roule par terre ou retient sa respiration, laissez le crever. Je suis en train d’assister à une conférence où un débordé prend son public pour des débiles mentaux ou des fans de Lorie, j’hésite encore : dois-je l’enfoncer publiquement ? Oui. Bien qu’il ne comprendra pas votre remarque (il est persuadé d’avoir fait du bon travail/fera encore plus mauvais la prochaine fois en voulant bien faire) et restera profondément incompétent, c’est un peu comme faire du moto-ball à côté d’un yorkshire jappant : ce serait un crime de ne pas lui mettre un bon coup de latte en passant. Un débordé sexuellement compatible (d’après ses critères, les miens, moins) n’a de cesse de venir me harceler dans mon bureau : que faire ? Rassurez-vous : le débordé n’a pas de sentiments : il a bien trop de boulot pour cela ; d’ailleurs, peut-être vaut il mieux pour lui, sinon il réaliserait à quel point il est rejeté par l’ensemble de ses collègues (encore une fois, ça non plus le débordé ne le remarque jamais, trop stressé par son travail pour s’arrêter à ces détails). Non, là ce sont simplement ses hormones qui parlent, ou bien le fait qu’un jour, une fois, vous avez eu un geste amical à son égard (comme ne pas lui péter la gueule en le croisant), et qu’il est donc persuadé qu’il a une chance de pouvoir s’accoupler avec vous. Pas d’inquiétude : un vétérinaire peut le castrer à peu de frais. N’hésitez pas à vous cotiser avec le reste du personnel : après tout, personne n’a envie de le voir se reproduire. Je suis en réunion et comme d’habitude, le débordé fait son fayot. Comment me tirer de ce mauvais pas ? Le débordé est le seul être à aimer les réunions, car, tout comme lui, cela consiste à faire un minimum de choses en un maximum de temps, le tout dans un cadre chiant. Aussi, dans ce milieu merveilleux à ses yeux, il n’hésite pas à s’en donner à coeur joie et, toujours plein de bonne volonté, essaie de participer au maximum, principalement pour dire des choses que certains assimilent aisément à de chauds étrons. Profitez de la bonne volonté du personnage pour soumettre l’idée qu’il pourrait être en charge de la mise en application de tout ce qui vient d’être dit : le débordé ne saura refuser, il aime bien trop ça, et ne saura l’appliquer, il est bien trop nul : voilà qui devrait conclure la réunion d’une part et permettre que les idées du débordé ne soient jamais mises en application d’autre part : vous êtes sauvé. Mon patron veut que j’emmène le débordé avec moi en rendez-vous client : est-ce un piège ? Oui : votre patron a compris que le débordé était naze, et avant de le virer, tente de l’éloigner un maximum de la boîte. Ne pouvant vous dire clairement “débarrassez-moi de ce rebut“, il vous laisse libre de partir en voyage avec : trouvez une aire d’autoroute et attachez-le à un arbre ; peut-être qu’une autre boîte le trouvera et le prendra sous son aile. Ou avec un peu de chances, il sera bouffé par des renards. Qui crèveront probablement d’un ulcère à consommer de la viande stressée. Pauvres bêtes. La tête du débordé vient de passer dans l’encadrement de la porte de mon bureau : il veut me demander quelque chose, je crois. Fermez la porte d’un coup sec sur sa nuque. Et vous, comment faites vous avec vos débordés ? Moi ? Ho, rien d’extraordinaire. Je les prends à part, je leur explique que honnêtement, ils font un boulot formidable : vraiment, tout ce travail qu’ils s’imposent, toute cette auto-discipline à vouloir bien faire… Et je leur susurre qu’avec autant de travail, de compétences et de connaissances, à leur compte, ils seraient déjà riches. Je les aide même à faire leurs papiers pour monter leur boîte. Quelques mois plus tard, devant Carrefour-Market, je leur dis que je n’ai pas de pièce sur moi : j’ai déjà tout donné. Et je les regarde retourner caresser leur chien, un vieux bâtard assis dans sa propre urine, à peine absorbée par quelques vieilles fiches de cours couvertes de fluos et de feuilles de brouillons imprimées en 60 exemplaires. Si je ne leur ai pas donné d’argent, je leur ai donné du temps.
  18. mikL44

    Générer une élévation 2D

    ok j'ai viré les vannes et ca va mieux (1min35), pourtant c'est des vannes de MEP à la base. C'est bizarre en "coupe horizontale" j'ai pas le probleme. merci pour l'aide en tout cas
  19. mikL44

    Générer une élévation 2D

    J'ai regardé, tu as utilisé le parametre d'affichage "conception MEP - modele" j'utilise le "conception MEP - Plan" pour avoir les traits d'axe dans les tubes En "conception MEP - modele" aucun soucis, parcontre en "conception MEP - Plan" c'est la que ca rame à mort.
  20. mikL44

    Générer une élévation 2D

    merci je regarde ton fichier...
  21. mikL44

    Générer une élévation 2D

    Bonjour Que ce soit avec "coupe verticale" "ligne de coupe" ou "ligne d'élévation", ca ne change rien. J'utilise le parametre d'affichage "conception MEP - Plan" pour avoir les traits d'axe dans les tubes.
  22. Bonjour Je travaille sur autocad MEP 2015 et j'ai de grosse difficultés à générer une "élévation 2D" sur mon fichier, le paramètre d'affichage à sélectionner dans la boite de dialogue "Créer une coupe/élévation" est "Conception MEP - Plan". Si quelqu'un veut tester, je joins le fichier, chez moi la barre de progression au moment de la génération de l'élévation ne se bloque pas mais avance à la vitesse d'un millimetre par 1/2heure, bon j'éxagère mais je suis pas loin de la vérité, si bien que je suis obligé d'abandonner la génération de la vue. http://www.grosfichiers.ch/fr/x7S4etHQFqW9F7F6NiJlysG merci a+
  23. Bonjour Avec la commande createhlr ca a l'air de fonctionner Bon week end mikL44
  24. Faut au moins ca ;) http://www.gamerobs.com/geekames/fichiers/2010/12/1/1291198273.jpg
  25. Tiens ca donnerais quoi la mono de Titi95 la dedans... :)
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