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Bonjour, pour un MAP 3D 2007, il y a une petite variable à mettre en place en base de registre au niveau de la clé : HKEY_CURRENT_USER\Software\Autodesk\AutoCAD\R17.0\ACAD-5002:40C\Applications\AcMap créer une nouvelle valeur de type DWORD et la nommer Statusbar Quitter la base de registre et relancer AutoCAD MAP Olivier

Bonjour, Je travail actuellement avec Mensura, et avec mon colégue nous aimerions que la direction acquiére des licence Covadis, mais pour cela nous devons motivé notre demande. Pouriez vous me donner quelques renseignement? Dans le cadre d'étude de dimensionnement de réseaux d'eau pluviales j'aimerais savoir quels sont les formules appliquées par Covadis 11 ou 12 pour calculé : -Les débits superficielles (Débits des bassins versants naturels) -L'abattement spatiale -Les temps de concentration superficielle et du réseaux -Les formules d'intensités Peut-on personaliser les coefficient de Montana et ou de Talbot pour une étude donnée. Covadis applique les méthode suivantes : superficielle (Caquot), rationnelle, simplifiée (~ rationnelle avec Tc = 5 min) L'intensité est calculée par la formule de Montana, à l'aide des coefficients a et b fournis par Météo-France, conservés dans une bibliothèque. Les débits sont calculés selon la méthode de Manning-Strickler ou la méthode de Bazin. L'abattement spatial est ignoré. Est-il possible de dimensionner un bassin de rétention en fonction débit de fuite? Oui Si oui, dans ce cas si l'on à saisie le paramètre des pluies de la régions pour différente durée de pluies (par exemple les coefficient de montana obtenue auprés de météo france pour Clermont de 6 à 30 minutes, de 30 à 360 min, de 360 min à 48 h) pour la recherche de la hauteur de pluie maxi pour une durée de tmin, le logicielle est-il capable de construire la courbe enveloppe avec tous les paramètre (de 6 à 30 min, puis de 30 à 360min...), ou doit-on réitérer les calcul si l'on s'apersoi que le tmin est supérieur au temps de d'observation La courbe enveloppe n'est pas dessinée. Le logiciel peut-il nous retourné les différents paramètres carractéristiques des bassins versants élémentaires en fonction des méthodes de calculs utilisées. A l'issue du calcul d'un réseau, les résultats fournis sont les paramètres propres à chaque BV, les propriétés des BV issus de l'assemblage (série ou parallèle), les cotes, pentes et diamètres des tronçons ... Peut-on faire des métrés par zone simplement (par exemple selection d'un contour pour obtenir les métré de l'ensemble de la zone contenant une partie de réseaux, de surface, de linéaire, de plateforme, et de projet linéaire....)? Non, le traitement par zone peut se faire sur les objets AutoCAD simple, mais pas sur les projets Covadis. Dans ce cas, il faudra découper les projets par zone. Peut - on faire des coupes de tranché multi réseaux? Oui, soit par coupe, soit par association de tranchée commune.

Bonsoir, je reviens avec quelques résultats de performance liés au RAMDisque. Voilà le protocole de test : la machine portable DELL M6300 ayant déjà 3 ans, windows 7 64bit, 512Mo de RAM Disque, et DD 2"5 à 7200 trs fonctionnant correctement mais sans plus. J'ai fait différents tests avec le DWG et/ou les temporaires sur le DD et/ou RAM. J'ai ensuite refait les tests après avoir arrété tous les services windows, le réseau, internet, les anti "tout" et tout ce qui pouvait avoir une influence sur la machine. - J'ai fait un 1er test avec un fichier de 400 Mo copier du DD sur RAM : 80Mo/s ce qui correspond au temps de lecture sur le DD. Donc sur un fichier DWG de 80Mo on perd 1" en lecture, sur un fichier de 20 à 30Mo on est en dessous de la demi seconde de perdue - ensuite en copie de la RAM sur le DD on est à 65Mo/s, c'est le temps d'écriture sur le DD. Sur une sauvegarde automatique ou un enregistrement d'un DWG de 20 à 30Mo c'est encore sous la demi seconde de perdue => Négligeable. - 2ème test : un DWG de 78Mo contenant 1 780 000 faces 3D (ouverture et sauvegarde ne crée pas de temporaire) - DWG en RAM et temp en RAM : - 1,5" pour voir le message Regeneration et 23" pour ouverture complete, puis 10" pour le sauvegarder. - Avec tous les services Windows arrêtés : 1", puis 21" pour ouvrir et 8" pour sauvegarder - DWG sur DD et temp en RAM : - 2,5" pour voir le message Regeneration et 24" pour ouverture complete, puis 12" pour le sauvegarder - (on retrouve notre seconde de perdue en lecture depuis le DD et 2" en écriture). - Avec les services arrêtés, on gagne nos 2" environ. - 3ème test : un DWG de 14Mo topo 2D et 3D - 17000 points, 3500 poly3D, 1 MNT Objet de 130000 triangles - DWG en RAM et temp en RAM : - 7" pour ouverture complete, puis 2" pour le sauvegarder, - déplacer tous les objets de 1m => 12" avec création d'un fichier tempo UNDO de 48Mo. - Annuler le déplacement 7" => création d'un fichier temp REDO de 50Mo - Rétablir 6" destruction du fichier tempo REDO - DWG en DD et temp en RAM : - 8" pour ouverture complete, puis 2,5" pour le sauvegarder, - déplacer tous les objets de 1m => 12" avec création d'un fichier tempo UNDO de 48Mo. - Annuler le déplacement 7" => création d'un fichier temp REDO de 50Mo - Rétablir 6" destruction du fichier tempo REDO - DWG en DD et temp en DD : - 8" pour ouverture complete, puis 2,5" pour le sauvegarder, - déplacer tous les objets de 1m => 12" avec création d'un fichier tempo UNDO de 48Mo. - Annuler le déplacement 7" => création d'un fichier temp REDO de 50Mo - Rétablir 6" destruction du fichier tempo REDO les différences sont inférieures à la seconde. Ca demanderait à être confirmé sur des fichiers différents (Image / Xref ...), mais je suis un peu déçu. Je pensais que le DD limitait assez fortement les performances, mais les temps de lecture et écriture sont quasiment masqués et transparents par rapport au temps de traitement des opérations graphiques de regénération / déplacement / Orbite et autres... Olivier Eckmann

Bonjour, un projet de plate-forme ne peut utiliser qu'un seul MNT, mais celui-ci peut être composé de plusieurs calques pourvu qu'il n'y ait pas de surperposition et que l'assemblage des différentes faces donne une seule surface continue aussi bien planimétriquement que altimétriquement. Les problèmes sont en général dûs à des trous horizontaux ou verticaux dans les raccords entre faces de MNT issus de calque différents. Bien vérifier qu'il n'y a pas de trous. Olivier Eckmann

Bonjour, Automatiquement, ce n'est pas possible, par contre si le décapage est constant sur tout le projet, alors il suffit de créer des zones de décapage de hauteur égale à "Décapage + Purge", puis dans les listings, récupérer la surface de décapage et la multiplier par la hauteur de décapage => volume de décapage. Ce volume sera à déduire de la valeur de décapage calculé pour retrouver le volume de purge. Si le décapage se fait par zone à des hauteurs diffrentes, créer un 1er projet avec les zones de décapages, lancer le calcul et recupérer les volumes de décapage. Créer un 2ème projet avec des hauteurs de décapage = décapage TV + Purge, transférer toutes les plates-formes dans ce nouveau projet et lancer le calcul. Là encore, déduire des volumes totaux de décapage, le volume calculé par le 1er projet pour obtenir le volume de purge. Petite astuce peut-être pas très connue. Quand on crée des zones de décapage, on sélectionne les polylignes. Si la polyligne possède une épaisseur (propriété Epaisseur d'AutoCAD dans le dialogue des propriétés), ou une largeur globale, celle-ci est lue et utilisée comem épaisseur de décapage par défaut. Olivier

Hello, en réponse à Patrice, concernant le disque si c'est pour les performances max, je privilégierais 2 disques en RAID 0 plutôt que le RAID 1 (orienté sécurité par redondance) ou alors 4 disques en RAID 0+1 pour combiner performaces et sécurité, mais c'est un peu trop pour une simple station AutoCAD à mon avis. Concernant les SSD, j'ai pas de retour sur la tenue dans le temps aussi bien du côté des performances que du côté de la fiabilité. Cependant, vu le prix de la mémoire (30€ la barrette de 4 Go DDR3), on teste actuellement les disques RAM en redirigeant les temporaires Windows et AutoCAD sur le RAMDisque. Car une fois le DWG (et éventuelement l(es)'image(s)) lu(s) et chargé(s) tout se passe en mémoire et sur les temporaires (Annuler / Redo ...) On va voir ce que l'on gagne vraiment. Pour l'OS, effectivement le passage en 64 bits ne présente d'intérêt que pour passer la barre fatidique des 3.25Go de RAM bloquée sur les OS 32 bits. Par contre il n'y a aucune amélioration de vitesse ou de performance avec le passage à 64 bits Olivier

Bonjour, concernant les configurations matérielles, voilà les recommandations pour les utilisateurs Covadis-Autopiste: - AutoCAD est une application quasi-exclusivement mono-thread, c'est à dire que tous les calculs sont synchrones et n'utilisent qu'un seul coeur pour toutes les opérations. C'est pourquoi, il est inutile et même contre-productif d'utiliser des processeurs avec beaucoup de coeurs. En effet, le plus utile est la puissance brute disponible par coeur et c'est souvent la férquence qui joue le role le plus important. A titre d'exemple, un simple processeur i5 double coeur fonctionnant à 3.8GHz sera beaucoup plus performant qu'un Xeon 4 coeurs (8 coeurs avec l'hyperthreating) fonctionnant à 2.0Ghz par exemple et ce pour 1/5ème de son prix. Au jourd'hui, il n'y a quasiment plus de processeur double coeur. On conseille donc in core I7 à la plus haute fréquence possible. - La seule possibilité pour AutoCAD d'utiliser plusieurs Coeurs se situe dans le calcul de rendu (image de synthèes avec matériau et texture) qui lui exploite tous les coeurs de la machine. On voit l'image se calculer par petit carré. Chaque carré correspond à 1 coeur entrain de calculer un bout d'image. - Pour la carte graphique, inutile de prendre des cartes professionnelles (Quadro ou FirePro) car avec les grandes coordonnées utilisées dans les systèmes de projection, l'utilisation de l'accélération matérielle (à cause de son appriximation des calculs pour une vitesse accure) engendre des artéfacts lors du passage 3D (modèle) vers 2D (écran). Il suffit pour s'en convaincre de se mettre en sytle visuel réaliste sur une face 3D, de zoomer assez près, de cliquer sur une face pour s'apercevoir que les arrêtes (mises en surbrillance) ne coïncident pas avec le triangle de la face texturer. Par conséquent dans la phase de conception, il est souvent judicieux de désactiver l'accélaration matérielle pour que les calculs ne soient pas approximés. - Ensuite, une fois le projet terminé, s'il s'agit d'en faire une présentation 3D, on crée un nouveau fichier en ne gardant que les objets 3D servant à l'image finale, on déplace le tout en coordonnées locales (autour de 0,0) et on réactive l'accélération matérielle. A ce moment, la carte vidéo peut donner sa pleine puissance. Pour un usage mixte, nous conseillons plutôt une carte "Gamer" moyen/haute gamme qui pour un prix moindre donnera de très bon résultat. En conclusion, un processeur à la plus haute fréquence possible (éviter la multiplication des coeurs qui induit une fréquence plus basse), une carte graphique "Gamer" moyen/hauite de gamme, mais pas de version Pro. Tout ceci avec un Windows 7 64 bit et 8Go de RAM. Ensuite si la partie "Création de maquette / rendu et film" représente une part assez importante du temps de travail en plus de la conception pure de la route, on peut envisager un processeur avec plus de coeur et une carte graphique Pro. Concernant la méthode de travail sous Autopiste, il est possible d'accélérer le travail : - en mettant la Topo en Xref, le MNT en Xref également, - en travaillant par "Zone de travail" plutôt que de recalculer la zone totale à chaque fois, - en ne dessinant que ce qui est utile à chaque moment de l'étude, est ce qu'on a besoin en permanence des barbules de talus, des MNT décapés, des hachures, des dévers... Tous ces éléments sont utiles mais pas forcément tout le temps à chaque étape d'étude et de validation du projet. Voilà les principales pistes permettant de travailler efficacement avec le logiciel et le matériel le plus performant aujourd'hui. Olivier Eckmann Support Technique GEOMEDIA SAS

Bonjour, le HP800 est livré avec 96Mo de base (32 fixe et 1 barrette de 64 remplacable par 1 barrete de 128Mo si necessaire). Cependant, même de base avec 96Mo, il faut vraiment un plan très chargé par le mettre à "genou". Les 2 plus gros problème du HP800 sont : - son firmware interne qui a mis plus de 3 ans avant de se fiabiliser. A vérifier, mais il faut être au moins en version A.02.12 - son driver pour Windows qui n'a jamais bien fonctionné avec AutoCAD. Si le PC est sous windows XP, il faut absolument resté sur la version 5.35 en utilisant le modèle HP5000 et pas le HP800. Surtout ne pas mettre les drivers version 6 ou 7 qui sont complètement pourris pour AutoCAD. Si le PC est sous Windows 7, il faut utiliser les derniers drivers v7 mais celui du HP4000 et pas celui du HP800. Avec ces drivers là, pas de problème de tracé jusqu'à 2m70. Olivier

Bonjour, pourquoi passer par MAP et un DBF? Il suffit de : 1. Utiliser l'éditeur de bloc pour ajouter les attributs manquants sur le bloc PLUM 2. commande BATTMAN, sélectionner le bloc PLUM et cliquer sur le bouton Synchroniser 3. menu Express / Blocs / Export Attributes informations cela crée un fichier texte séparateur "tabulation" que l'on ouvre sous Excel avec l'assistant d'import de fichier texte 4. Sous excel, compléter les colonnes des attributs ajoutés. 5. Enregistrer en format TXT à partir d'Excel 6. Menu Express / Bloc / Import Attributes Information => remplit les attributs des blocs à partir des infos lues dans le fichier texte. Olivier

Bonjour, Pour les giratoires de rayon inférieur à 12m, il est recommandé de laisser une surlargeur franchissable de 1.5m pour que les poids-lourds, bus... puisse tourner en ayant les roues qui roulent sur cette surlargeur. Les véhicules simples (voitures) n'ont pas le droit de rouler sur cette zone, c'est pourquoi elle est traitée de manière séparée en couleur/matériau/pente. Après, il ne s'agit que de recommandations, tu fais ce que tu veux. Pour vérifier que les véhicules puissent franchir ton aménagement, il faut le vérifier avec l'outil Giration. Il faut connaître le véhicule le plus contraignant qui devra passer (en général le bus simple), rentrer ses caractéristiques dans la bibliothèque car celui fourni n'est qu'un exemple, et il ne convient pas à tous les modèles de toutes les marques de bus circulant en France. Une fois dessiné, le centre du giratoire peut être déplacé à partir du dialogue de conception de l'anneau (bouton en haut à gauche à côté des coordonnées du centre). Si les branches sont rectilignes alors tout le giratoire se déplace, mais si les branches sont en courbe alors Covadis conserve les point de départ et les directions et essaye de recalculer les raccordements. Pour l'habillage il devra être refait une fois le giratoire déplacé. Olivier

Bonjour, si on dispose des 2 fichiers X Y ZTampon et X Y ZRadier, alors ça peut aller assez vite 1. Chargement de semis (en 3D) avec le fichier X Y ZRadier 2. Dessin d'une polyligne 3D passant par les points topo (récup des Z radier) 3. Effacer les points topo à ZRadier 4. Chargement de semis (en 3D) avec le fichier X Y ZTampon (cliquer sur Remplacer pour la liste des points topo) 5. Avec la barre d'outil Réseau, convertir la poly 3D en canalisation. Pour chaque sommmet XY, le Z lu dans le point topo donne le ZTN alors que le Z lu sur la poly 3D donne le Z Fil d'eau 6. Dessin du profil en long de la cana. Olivier

Bonsoir, en 2011, il suffisait de taper les premières lettres d'une commande puis d'appuyer sur la touche Tab pour qu'AutoCAD propose toutes les commandes commençant par ces lettres. Olivier

L'idée est pas mal. Pour la commande Y on a dans AutoCAD une commande quasi équivalente, soit par Clic-droit "Ajouter la sélection", soit avec la commande ADDSELECTED La seule propriété que l'on ne récupère pas c'est la largeur globale. pour la commande Y1, la bascule entre les fenêtres est intéressante. Par contre si on a une légende bien faite c'est assez rapide de faire faire un glisser déposer dans une palette et de dessiner à partir de la palette. la sélection est peut-être moins visuelle, mais on peut ajouter du texte et organiser ses pallettes un peu comme on le souhaite : par ex ajouter des fonctions de modification au milieu des fonctions de dessin. Par contre le fait que l'on doive cliquer un objet direct de la légende pourrait poser problème lors d'un métré, car les objets de la légende sont alors comptées. Il serait préférable que la légende soit dans un bloc et que l'on vienne cliquer la(es) polyligne(s) comme composant du bloc. Olivier

Toujours identique au DVD, quand il y aura de nouveaux Country kit, ils seront estampillés avec un numéro de version (par ex V2). QTO n'est pas renseigné, il n'y a pas de base d'article utilisable fournie avec Civil. Olivier

mettre la variable FILEDIA à 1 Olivier

Bonjour, par défaut le centre du giratoire est en 0,0. Il faut cliquer sur le bouton à côté des coordonnées pour le replacer à l'écran. Il faut aussi être en SCU Général. Olivier

Bonjour, à partir du 16 construire un point 22 en DX=0.1 et DZ=0 => cela permettra de définir une ligne horizontale 16-22 Construire un point 23 en intersection 16-22 et 14-15 Le fossé sera donc construit en 14-23-16-19. La ligne 23-16 sera horizontale et de largeur variable. Olivier

Bonjour, pour ce genre de problème, vous pouvez appeler le support technique de Géomédia au 0298469233, il est fait pour cela, et en plus on n'est pas débordé cette semaine. Concernant le problème des plates-formes : - Si en changeant le Z de la plate-forme, ça plante immédiatement, c'est que l'on est en calcul automatique => désactiver le calcul automatique (dernier menu déroulant) - Ensuite on peut toucher à la palte-forme, puis dans les options de calcul et de dessin (avant-dernier menu déroulant), on ne garde coché que "Limite d'entére en terre". Cela dessine uniquement les entrée en terre sous forme de polyligne 2D ou 3D. On peut ainsi constater où se situe le problème. - D'une manière générale, si l'entrée en terre se calcule mal: - soit la plate-forme est collée au MNT au niveau des sommets => remonter l'ensemble de qq mm - soit le MNT sur lequel on s'appuie présente des trous (plani ou verticaux) et que l'entrée en terre tombe dans ce trou donc ne peut pas être calculée. Concernant la taille des fichiers, avec un outil comme dl.free.fr on peut transmettre des fichiers importants, mais dans votre cas pour étudier le problème de la plate-frome, il suffit de faire une copie du fichier d'origine et d'effacer tout sauf le MNT et les plates-formes, puis après quelques purges, le fichier devrait être plus raisonnable en taille. Le mieux reste quand même de contacer directement géomédia, on vous aurait donné ces conseils par téléphone et on aurait pu analyser le problème avec vous. Olivier Eckmann Support Technique Geomedia SAS

Bonjour, par défaut elle est à 0, c'est à dire nouvelle méthode POINT et autre grip sur TEXTE et MTEXTE il faut toujours la mettre à 1 pour revenir à l'ancien mode de fonctionnement à savoir objet POINT uniquement. Sur la capture d'écran, il y avait à priori une polyligne déjà dessinée qui passait par des points topo d'où ma réponse de transformation 2D vers 3D. Cette métjode n'est pas liée à une méthodologie, mais dépend du projet initial. Si le projet est déjà tout dessiné en 2D avec de points topo 3D aux points utiles et remarquables, on utilise cette méthode plutôt que de tout redessiner en 3D. Olivier

Pardon, j'avais répondu dans le cadre d'un raccourci. Pour la palette, c'est ^C^CSH;explorer :nC:; Olivier

Bonjour, Désolé lili, mais Didier a raison pour la variable OSNAPNODELEGACY. Bien que l'aide indique que ça ne concerne que les Mtextes (ça permet effectivement d'accrochaer les 4 coins d'un Mtexte) cette variable permet aussi sur un texte simple (ou un attribut) justifié autrement que Gauche d'attraper le second grip. Sur les points topo Covadis, les attributs ALT étant situés en bas à droitee par défaut, il sont justifiés Haut Gauche donc par défaut l'accrochage nodal permet de "choper" le grip HG. Il est donc nécessaire de mettre la variable OSNAPNODELAGACY à 1 pour revenir à l'accrochage nodal original, c'est à dire limiter aux objets POINT uniquement. Pour en revenir à la question de départ, soit on utilise la commande Covadis3D / Gestion des poly 3D / Construire . Cela permet de dessiner la polyligne en 3D directement et avec le clic-droit on accède à un ensemble d'options de gestion des altitudes : saisie manuelle, interpolée, Z sur MNT, DZ sur MNT, Suivi de poly3D déjà saisie.... L'autre solution consiste à dessiner en 2D ce qui est simple, puis avec la fonction Covadis 3D / Construction 3D / Transformation 3D, on crée une poly3D en partant de la poly2D, en utilisant le Z des points topo trouvés sur les sommets là où ils existent, pour les autres sommets, il s sont interpolés, les arcs de cercles sont discrétisés selon la flèche spécifiée... Personnellement, je trouve la seconde solution plus souple et plus adaptée au passage d'un plan initial en 2D vers la 3D. Mais si on redessine toute la 3D à la main, la 1ère solution est plus adaptée. Olivier

explorer /n,C: olivier

Bonjour, il suffit de faire un clic-droit / Nouveau groupe. Cela ajoute un nouveau groupe dans un groupe déjà existant, puis il suffit de glisser ce nouveau groupe en bas ou en haut de la liste pour qu'il se positionne au même niveau que les autres. Olviier

Bonjour, avec AutoCAD MAP, il est possible de travailler à plusieurs sur un même fichier, c'est ce que l'on appelle la gestion multifichier (module ADE qui existe depusi AutoCAD 12). Le principe : 1. on ouvre un dessin vierge, 2. on associe de 1 à X dessins en tant que dessins sources (DWG dans lesquels on peut "aspirer" des données) 3. on lance une requête spatiale et/ou attributaire pour filter les objets à extraire : par exemple uniquement les blocs XXXXX du calque YYYYY dans la zone définie pas le polygone que je choisis ou clique à l'écran. 4. Map crée une copie des objets dans le dessin en cours. 5. On modifie un objet=> Map pose automatiquement un verrou à l'objet rendant ainsi imposible ça modification par quelqu'un d'autre 6. En fin de modification, on met à jour l'objet dans le DWG d'origine (enregistrement vers les dessins sources) Il est ainsi possible à X utilisateurs MAP d'attaquer simultanément Y fichiers dwg avec une mise à jour simultanée de tous les objets. Les restrictions : ne fonctionnent qu'avec les objets AutoCAD et pas avec les projets Covadis (plates-formes, projet routier, profil en long et en travers) qui ont besoin d'associativité entre les objets dans la même database. Olivier

Bonjour, on peut lancer l'ancienne commande, ou bien mettre la variable LAYERDLGMODE à 0 pour que l'icône des calques lance l'ancienne case de dialogue avec les boutons OK et Annuler Je suis un peu comme didier (même domaine d'activité aussi), je préfère l'ancienne version pour 1 raison principale: lorsque le plan est chargé (assez conséquent en hachures et autres données graphiques longues à afficher) avec la nouvelle version, chaque fois que l'on dégèle un calque, AutoCAD regénère et tu est figé pendant quelques secondes, si tu vas un peu trop vite pour dégeler plusieurs calques ton AutoCAD ne répond plus. Avec l'ancienne case de dialogue, tu règlais tout ce que tu voulais dans tes calques et hop un clic sur OK et tout se faisait en une seule fois. Olivier