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stagiaire


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Posté(e)

Hello,

 

ah le pouvoir des mots... Le problème est qu'à l'école on t'enseigne les maths avec des termes précis qui ont une signification précise. Et ces termes évoluent avec le temps.

 

Perso, j'ai appris à faire "un produit en croix" et le jour où on m'a parlé de "règle de 3", je comprenais rien à ce qu'on me racontait... Pourtant c'est la même chose mais on t'enseigne les maths comme étant une science rigoureuse et précise, alors changer les mots ça te perturbe n'importe quel gamin.

 

Tiens, j'crois qu'en primaire maintenant on parle déjà d'équation pour de simples additions ou soustraction... Le terme d'équation, pour ma part, est arrivé au collège quand on a commencé l'algèbre (et je sais pas si on parle toujours d'algèbre)...

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Posté(e)

hello x_all

hors sujet apr rapport à ta demande mais pour mettre à l'échelle un bloc comme tu le souhaites il y a plus simple :

commande echelle
tu précise ton point de départ
tu tapes R
point de départ ; extrémité du truc que tu veux mettre à l'échelle
PUIS tu tapes DEP (qui te permet de choisir un nouveau point de départ) et tu sélectionne ton point de départ
après tu tapes ta longueur dans l'alignement de ton extrémité

et PAF!

pour ton exemple la solution était simple (facteur 1.33) mais si ta longueur finale devait être de 2.56 ma méthode marche très bien et sans calculette ;)

see you

Phil

Projeteur Revit Indépendant - traitement des eaux/CVC

Posté(e)

Bonjour,

 

La blague de ce matin, ce n'est pas un stagiaire, mais un jeune BTS Topo du mois de juin. Ce matin envoyé sur le terrain pour faire un levé de corps de rue. Il appelle en matinée :

- "Je peux pas travailler, il y a des travaux sur le carrefour, c'est dangereux pour la station, je rentre"

- "Est-ce que tu peux commencer par lever l'autre côté de la rue? on verra demain pour le carrefour"

- "Ah oui, j'avais pas pensé à commencer mon levé de l'autre côté, ça va aller"

Eh oui, il vaut mieux en rire!!!

Olivier

Posté(e)

ça me rappelle les histoires d’atelier ou en m'envoyait chercher le marteau à bomber le verre...

 

@philsogood

à ajouter aux alias par défaut...tu gagnes un clic !)

 

 

(defun c:er (/ ss)
 (command "_scale" (if (or (setq ss (ssget "_I" )) (setq ss (ssget ))) ss)  "" pause "_r" "@" pause pause)
 (princ)
)

(defun c:tr (/ ss)
 (command "_rotate" (if (or (setq ss (ssget "_I" )) (setq ss (ssget ))) ss)  "" pause "_r" "@" pause pause)
 (princ)
 )

  

Posté(e)

je me demande bien comment sont enseignés les math au 21eme siècle... je suis sur que si je lui demande une étude de fonction avec dérivée et calcul de surface par intégrale il s'en sort mieux...

J'ai l'impression que les math sont devenu une suite de recette de cuisine à connaitre par cœur, mais le raisonnement.....

 

Le problème n’est pas comment sont enseignés les choses mais plus comment on se les approprient pour pouvoir les appliquer à son domaine d’activité. Ca ne me choque pas qu’ils soient plus difficile pour certaines personnes que d’autres de passer de l’abstraction mathématique à l’application au réel (et vice-versa) surtout pour un jeune qui peut manquer parfois d’assurance.

C’est des raisonnements qui vont se mettre en place au fil du temps, il faut plus s’attacher à un état d’esprit car un savoir cela s’acquière pour l’autre s’est plus compliqué...

 

@x_all

Dans tes alias tu peux simplifier l’expression :

(if (or (setq ss (ssget "_I" )) (setq ss (ssget ))) ss)

Par (et ainsi économiser une variable inutile)

(cond((ssget "_I")) ((ssget))))

 

Et avec un peu d’abstraction mathématique les 2 alias sont facilement factorisable

(mapcar
 '(lambda (f cmd)
    (eval (list 'defun	f nil (list 'command cmd '(cond ((ssget "_I")) ((ssget))) "" pause "_r" "@" pause pause) '(princ)))
  )
 '(c:er c:tr )
 '("_scale" "_rotate")
)

([Humour/on] Hé oui, pas évident de brut en blanc de passer de la pratique à l’abstraction mathématique lorsque l’école est loin derrière nous. [Humour/off] :D )

 

Amicalement Bruno

Apprendre => Prendre => Rendre

Posté(e)

ha lala...

bravo pour la factorisation, mais on est quand même loin du concept de la règle de 3 généralement expliquée en CE2 et qui servent régulièrement dans la vie courante. (et puis (mapcar j'arrive pas à m'y faire)

 

 

Ce que je "reproche" au système éducatif, c'est d'être parti trop loin de la réalité. Quand on sort de l'école on "sait" plein de choses complètement inutile qui n'ont été apprise que pour apprendre à apprendre (mais qu'on nous vend pas comme ça). Si le but est de savoir accumuler des "savoir par cœur" apprendre de la poésie serait peut être plus efficace. La mémoire est un muscle qu'il faut bien exercer, mais pourquoi l'exercer avec la matière à la quelle les enfants sont le moins réceptif.

Une amie récemment se désolait que sa fille ne puisse faire médecine car elle est pas assez bonne en math !!!

 

Des math plus proche de la réalité seraient peut être mieux accepté par les gosses. J'ai entendu parlé que les cours d'initiation à la programmation étaient obligatoire, apparemment pas chez nous, là aussi pourtant il y aurai matière ouvrir les capacités de raisonnement et de démerdabilité des minots au lieux d'en faire des chevaux d'attelages avec des œillères. Car s'il est vrai qu'a un certain niveau (sup spé) les math offrent la possibilité de raisonner, jusqu'au bac 90% des exercices consiste à habiller des recettes de cuisines avec les données de l'exercice (peut être pour ça que je m'en sortait)

 

Je n'ai jamais été mauvais en math et n'ai donc pas eu à subir la dictature de cette matière. mais de tout que que j'ai appris, que me reste il 30 ans après avoir quitter l'école?La géométrie (calcul des surfaces et volumes des formes simple) , des concepts vagues mais suffisant pour appréhender les histoires d’échelle logarithmique, d'exponentielles. La trigo, mais celle du collège. Bref pas grand chose quand on se remet en mémoire les heures à plancher sur des exercices abscons. Finalement je ne me sert dans mon travail pratiquement que les trucs appris entre la 6eme et la 3eme.

C'est vrai que sans le bagage mathématique, impossible de faire de la RDM, de l'élec...

Mais ces métiers spécialisés ne concernent pas assez de population pour justifier que cette discipline soit le juge de paix qui décidera de l'avenir scolaire de tous

 

C'est vrai qu'avoir de la mémoire (et donc avoir bien fait travailler ce muscle dans notre enfance) est un gros avantage, mais ça ne semble pas être la qualité première des stagiaires auquel j'ai affaire. Est ce dut à un manque de motivation? (possible) ou à une obstination de l'éducation nationale à vouloir faire rentrer dans la tête des enfants des trucs qui ne les motive pas ? Noyant le message sous des couches de concepts inapplicable au point que leur réponse c'est de baisser les bras car de "toute façon ça sert à rien". Quand on leur demande de ressortir les trucs utiles de ce boxon, ils en sont incapables.

Posté(e)

Salut à tous...

 

Je vois avec "effroi" que lorsque X_All écrit, j'en ai pour quelques page de lecture... Et c'est plaisant...

 

D'autre part, les maths, comme la philo ou autre matière ne devrait pas être inculquée, mais démontrées et, par extension, maîtrisées. j'entends par là qu'il serait judicieux, lors de l'apprentissage de certaines matières, qu'elles ne sont là que pour développer le cerveau...

 

J'adore les maths et j'adore la philo... Matières diamétralement opposées à l'école, et pourtant...

Dans la vie, elles sont très complémentaires...

 

Mais je pense que de nos jours, c'est l'élève qui fait défaut... Hors de ses réseaux sociaux, il n'est plus capable de rien, ça me fait penser à un épisode des SIMPSON où le prof envoyait des SMS aux élèves en classe pour leur poser des questions...

 

A mon époque, on faisait des jeux dans la rue avec nos amis (es) et on parlais DIRECTEMENT entre nous... Il y avait une interaction, c'était du relationnel, chose qui n'existe maintenant que dans les articles de journaux qui critiquent cette "évolution"...

 

Je ne pense pas que les élèves soient responsable de cet état de fait... Ce sont les outils qu'on leur donne qui le sont...

 

Ma fille, par exemple, ne m'envoie presque jamais d'SMS, je lui interdit, si elle veut me parler, je suis là... par contre, elle communique avec sa mère vers la cuisine depuis sa chambre par SMS...

 

Preuve que ces ados, élèves et autres peuvent être correctement stimulés pour la conversation...

Et le pire, c'est que ce n'est qu'un début...

 

Bon week-end à tous...

 

X_All, moi aussi, j'ai fais une tartine... ;)

 

Denis...

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